A Alger, les vendredis fiévreux du Hirak sont loin. Ces dernières semaines, les rues de la capitale ont été sages. Les clameurs et les chants se sont tus, les drapeaux remisés. Restrictions sanitaires obligent, les cortèges dénonçant le ras-le-bol du « système » en place depuis 1962 ont disparu. Pour autant, le Hirak n’est pas éteint. Des appels à manifester ont été lancés pour les deux ans du mouvement de contestation populaire, ce lundi 22 février. Malgré le…
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