Elle raccroche, ajuste son masque à fleurs et ôte ses écouteurs. « J’étais au téléphone avec une amie, je lui disais que j’étais venue. Et que… j’avais un peu honte. Je ne suis pas à la rue et, pour moi, les banques alimentaires, c’est vraiment pour les pauvres », confie Sarah, 20 ans, étudiante parisienne en marketing digital. La file d’attente, pourtant, serpente jusqu’à la rue adjacente. Comme elle, 500 étudiants patientent ce lundi soir aux abords d’un bar…
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