Après l’assassinat de l’ambassadeur italien, son garde du corps et un chauffeur du Programme alimentaire mondial (PAM), les autorités congolaises sont montées au créneau pour donner leur version de l’attaque. Elles pointent du doigt les rebelles des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR). Malgré l’appel lancé aux groupes armés de la République démocratique du Congo par le président Félix Tshisekedi en 2019 et les nombreuses tentatives…
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